Gaston Lapointe
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Jamesprinceauthor.ca
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2024-06-21 03:02:05
- de 108-174-163-1.yktn.hsdb.sasknet.sk.ca
fautes corrigées
T'ais-je dit
T'ais-je dit dernièrement que je t'aime ?
Dois-je te le redire encore ?
T'ais-je dit que mon âme t'adore et t'implore ?
Viens chérie je te l'avoue vraiment
T'ais-je dit dernièrement que dans mes nuits
Tous mes rêves n'étaient que de toi ?
T'ai-je dit que je n'aimais pas les moments où tu es loin ? Viens chérie je te l'avoue vraiment
Mon coeur serait brisé si tu me quittais
Je ne suis plus rien sans toi
Oui t'ais-je dit dernierement que je 'aime
Viens chérie je te l'avoue vraiment
Mon coeur serait brisé si tu me quittais
Je ne suis plus rien sans toi
Oui t'ais-je dit dernièrement que je t'aime
Viens chérie je te l'avoue vraiment
Viens chérie je te l'avoue vraiment
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Sébastien Galtier
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2023-06-14 03:57:35
- de 24.182.18.178.rev.sfr.net
J'ai relevé quelques erreurs dans Mistral gagnant de Renaud, voici le texte avec les corrections :
Ah... m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi,
Et regarder les gens tant qu'y en a,
Te parler du bon temps qu'est mort ou qui r'viendra,
En serrant dans ma main tes p'tits doigts.
Pi donner à bouffer à des pigeons idiots,
Leur filer des coups de pieds pour de faux,
Et entendre ton rire qui lézarde les murs,
Qui sait surtout guérir mes blessures.
Te raconter un peu comment j'étais, minot, les bombecs fabuleux,
Qu'on piquait chez l'marchand, Car en Sac et Minto,
Caramels à un franc, et les Mistrals Gagnants.
Ah... marcher sous la pluie cinq minutes avec toi,
Et regarder la vie tant qu'y en a,
Te raconter la Terre en te bouffant des yeux,
Te parler de ta mère un p'tit peu.
Et sauter dans les flaques pour la faire râler,
Bousiller nos godasses et s'marrer
Et entendre ton rire comme on entend la mer,
S'arrêter, repartir en arrière.
Te raconter surtout les Carambars d'antan et les coco boers,
Et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres,
Et nous niquaient les dents, et les Mistrals Gagnants.
Ah.. m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi,
Et regarder le soleil qui s'en va,
Te parler du bon temps qu'est mort et je m'en fous,
Te dire que les méchants, c'est pas nous.
Que si moi je suis barge, ce n'est que de tes yeux
Car ils ont l'avantage d'être deux,
Et entendre ton rire s'envoler aussi haut,
Que s'envolent les cris des oiseaux.
Te raconter enfin qu'il faut aimer la vie et l'aimer même si,
Le temps est assassin et emporte avec lui
Les rires des enfants... et les Mistrals Gagnants.
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