Je n'sais pas trop quoi penser des volcans
Ils sont curieux, ils brûlent par en dedans
Sous la pression consument leur temps
Et puis explosent au milieu des tourments, des tourments
Si par malheur tu rencontres un volcan
Sauves-toi, prends la clef des champs
N'regardes pas derrière, mais droit devant
Il y a moi, qui t'attend
Je n'sais pas trop quoi penser de l'argent
Parce qu'on en veut plus, on y passe trop de temps
Pour lui on tue, on oublie le présent
On court, on s'épuise, au milieu des tourments, des tourments
Si par malheur tu rencontres un volcan
Sauves-toi, prends la clef des champs
N'regardes pas derrière, mais droit devant
Il y a moi, qui t'attend
Et je n'sais pas trop quoi penser des tourments
Car toujours ils attisent les volcans
Tout n'est pas clair
Tout n'est pas blanc
Quand on est soi-même un volcan
Y a les tourments, les histoires d'argent
Souvent trop de pression en dedans
Et si par bonheur tu voulais un enfant
Malgré que l'on meurt, malgré tous les volcans
Qui détruisent les labeurs, qui brûlent les champs
Je serai là, je t'attends
Si par bonheur tu voulais un enfant
Malgré que l'on meurt, malgré tous les volcans
Qui détruisent les labeurs qui brûlent les champs
Je serai là, je t'attends, je t’attends, je t’attends...
Source: http://www.stevemarin.com/musiques.html